Exploring Self-Efficacy and Anxiety in First-Year Nursing Students Enrolled in a Discipline-Specific Scholarly Writing Course
DOI :
https://doi.org/10.17483/2368-6669.1084Résumé
Contexte : Il existe très peu d’études publiées en formation qui mesurent l’auto-efficacité ou l’anxiété quant à la rédaction chez les étudiantes de premier cycle en sciences infirmières. Le but de la présente étude était de déterminer s’il y aurait des changements au niveau de l’auto-efficacité et de l’anxiété chez des étudiantes de première année de baccalauréat inscrites à un cours de rédaction scientifique particulière à la discipline utilisant des stratégies de soutien décroissant comme principale méthode d’enseignement. Simultanément, cette recherche servait d’étude pilote pour une nouvelle échelle de mesure d’évaluation de l’auto-efficacité quant à la rédaction scientifique : The Self-Efficacy Scale for Academic Writing [l’échelle d’auto-efficacité pour la rédaction académique].
Méthode : Un modèle prétest/post-test a été utilisé auprès d’un groupe. Soixante-quatre (64) questionnaires appariés ont été analysés. L’étude a été guidée par la théorie de l’auto-efficacité de Bandura et le processus de soutien décroissant.
Résultats : Le niveau d’anxiété a diminué de manière significative entre le prétest et le post-test (p = 0,005). L’auto-efficacité quant à la rédaction, s’est améliorée s’approchant mais n’atteignant pas le seuil de signification (p = 0,051). L’auto-efficacité en matière de rédaction au prétest a prédit 15,4 % de la variance de la note finale autodéclarée sur le travail universitaire (p = 0,001). Les étudiantes qui ont affirmé avoir écrit leur travail en retard ou à la dernière minute ont déclaré une auto-efficacité en matière de rédaction significativement supérieure à celle des étudiantes qui ont affirmé avoir respecté l’horaire des activités reliées au travail (p = 0,021). Il n’y avait aucune différence dans les résultats d’auto-efficacité selon l’expérience de l’étudiante en écriture ou ses activités de recherche d’aide.
Conclusion : Les étudiantes de première année en sciences infirmières peuvent bénéficier d’un cours de rédaction particulière à leur discipline, qui intègre le soutien décroissant comme méthode d’enseignement, car il a le potentiel de diminuer l’anxiété chez cette population et améliorer leur auto-efficacité en matière de rédaction. Toutefois, des recherches supplémentaires seront nécessaires pour appuyer cette affirmation.
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© Kim M. Mitchell, Tom Harrigan, Torrie Stefansson, Holly Setlack (Author) 2017

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