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Credentials

Susan Chaudoir, PhD, MSc, MA

Katherine Trepanier, MN, BScN, RN

Gerri Lasiuk, PhD, RPN, RN, CPMHN (C)

Abstract

This article specifically reports findings from an interdisciplinary case study that explored classroom experiences of learning to write across one baccalaureate nursing degree program in Canada. A combination of rhetorical genre and situated learning theories and institutional ethnography methods were used to help document student and instructor experiences of learning to write two recurring writing assignments called the scholarly paper and journal of reflective practice, which students composed in each semester of their program. Data included 38 classroom/student observations, 22 assignment instruction documents, and 39 voluntary, semi-structured interviews with 34 students and 5 instructors from 4 courses. Interviews focused primarily on perceived enablers and constraints during the process of learning to compose these two recurring genres. Findings revealed that learning to write was a dynamic relational and emotional experience for students as well as instructors. Enablers and challenges were directly influenced by the student/instructor relationship and the degree of competitive/cooperative relationships in the learning environment. Factors that enabled students’ learning to write included peer mentoring programs, where lower-year students learn to write from upper-year students, and instructional rapport with nurse educators and professional nurses, where students learn to write content from a nurse with experience in the content area. Challenges to students’ writing included developmentally inappropriate assignment design and writing supports, inconsistent instructor preferences and expectations, students’ inability to identify and articulate their own writing needs, and students’ tendency to apply the same writing style or strategies to different, evolving genres across the years. An unexpected finding was that students across all years self-reported reading deficiencies that impeded their ability to read assignment descriptions and to differentiate genres. The importance of this surprise finding is that it appeared to have an adverse affect on self-directed learning and students’ desire to communicate with instructors about learning to write the scholarly paper or journal of reflective practice. The article concludes with a discussion of ways that relational cultural theory and narrative pedagogy have better potential than rhetorical genre theory to explain the emotional dynamics that constellate around writing assignments and why the student-instructor relationship is a critical component to writing-to-learn/learning-to-write approaches, especially in writing intensive curricula like this one. Participants’ suggestions for improving writing assignments and instruction are in the appendix.

Résumé

Cet article présente les résultats d'une étude de cas interdisciplinaire qui a examiné les expériences d’apprentissage de la rédaction dans les cours d’un programme de baccalauréat en sciences infirmières, au Canada. Une combinaison de théories sur le genre rhétorique et l’apprentissage contextualisé, et de méthodes ethnographiques en établissement a été utilisée afin de documenter les expériences d’apprentissage des étudiantes et des formatrices en ce qui concerne la rédaction de deux types récurrents de travaux, le texte scientifique et le journal de pratique réflexive, que les étudiantes composaient chaque semestre au cours du programme. Les données comportaient 32 observations en classe, 22 documents de consignes pour les travaux et 39 entrevues semi-structurées avec 34 étudiantes et 5 enseignants volontaires de 4 cours. Les entrevues portaient principalement sur les facteurs facilitants et les défis perçus lors du processus d’apprentissage pour composer selon ces deux types récurrents d’écrits. Les résultats ont révélé que l’apprentissage de rédaction à travers les quatre années était une expérience relationnelle et émotionnelle pour les étudiantes et les formatrices. Les facteurs facilitants et les défis ont été influencés directement par la relation étudiante/formatrice et le degré de relations compétitives/coopératives dans le milieu d’apprentissage. Les facteurs qui ont facilité l’apprentissage de la rédaction incluaient les programmes de mentorat par les pairs, où les étudiantes des premières années apprennent à rédiger avec des étudiantes des dernières années, et les rétroactions des infirmières formatrices et des infirmières professionnelles, où les étudiantes apprennent à rédiger du contenu avec le soutien d’une infirmière qui a de l’expérience dans le domaine. Les défis à la rédaction étaient notamment les préférences et attentes différentes de la part des enseignantes, l’incapacité de l’étudiante à identifier et articuler ses propres besoins en matière de rédaction, et la conception des exigences et des consignes à la rédaction inappropriée pour le stade de développement. Un résultat inattendu a révélé que des difficultés de lecture auto déclarées par des étudiantes nuisaient à leur capacité de lire les descriptions des travaux et de différencier les types de travaux. Ce résultat étonnant est important puisqu’il semble avoir eu un effet défavorable sur l’apprentissage autonome et sur le désir des étudiantes de communiquer avec les enseignantes pour apprendre à rédiger un texte scientifique ou un journal de pratique réflexive. L’article conclut avec des suggestions pour améliorer la rédaction des consignes et une discussion sur l’apport de la théorie relationnelle culturelle pour aborder la question des dynamiques émotionnelles et relationnelles changeantes dans l’apprentissage de la rédaction de travaux au baccalauréat en sciences infirmières.

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